Choisir de bons indicateurs.

Premièrement, ces indicateurs doivent être pertinents, adaptés à votre fonction et à votre activité.

Ensuite, les données nécessaires doivent être disponibles facilement  avec un minimum de retraitement.

Enfin, les indicateurs à mettre en place doivent être issus d’une consultation entre salariés et managers/dirigeants.

L’implication des salariés est le fondement même de la réussite du projet.

L’important c’est l’appropriation (j’ai été associé à ce projet, j’en suis partenaire et je me l’approprie). En parallèle, l’arbitrage et les décisions du manager ou des dirigeants concernant les choix doivent être commentées et expliquées clairement auprès des collaborateurs. Ils ont été conviés dans la démarche, ils le seront jusqu’au bout.

Faire du Visual Management une habitude…

La finalité d’une implémentation réussie d’un Management visuelle réside en son utilisation régulière.

Les indicateurs doivent devenir un élément clé pour le manager.

Ils doivent servir de base à un pilotage quotidien et à la mise en place d’actions correctrices, si nécessaire.

Ne faites pas pour faire, faites pour que cette pratique habituelle apporte de la valeur ajoutée à votre entreprise.

Qui doit être Flexible et Modifiable!

S’ils ne servent à rien dans les faits, ne les produisez pas et réfléchissez à d’autres pistes.

De même, si l’indicateur n’est pas efficace ou demande trop de temps à être livré pour être correctement utilisé, il faut  changer immédiatement et trouver un modèle plus adapté.

Enfin, ce management visuel ne doit pas être figé, il doit être flexible aux changements de méthodes de travail, ou à l’implémentation de nouvelles activités.

Par conséquent, il faut que ces pratiques soient celles d’une période et non gravées dans le marbre pour toujours.

Ainsi, elles doivent sans cesse être revues et modifiés au gré des événements.